Je m'appelle Ryan Lim, un Singapourien de 22 ans qui est, pour le meilleur ou pour le pire, probablement coincé avec le football pour le reste de sa vie.

 

Je vis pour les face cachées des matchs. Les crêtes, les maillots, les chants, les stades - même les mascottes, une chose énorme pour moi personnellement est de comprendre comment ces éléments sont liées aux fans et ce qu'ils représentent.

 

Et je suppose que c'est là que la photographie entre en jeu. Comme moyen pour moi de capturer et d'exprimer ces notions larges et obscures.

 

Pour moi, il n'y a pas de meilleur moyen pour y parvenir que la photographie argentique. Pas de deuxième chance, pas de seconde supposition - il suffit de cadrer et d'évaluer au mieux de vos capacités dans cette fraction de seconde dans le but de capturer l'esprit du moment.

 

Il est fascinant de voir comment les photos se révèlent finalement, qu'elles soient sous-exposées, inclinées ou floues.

 

Tout cela joue un rôle énorme dans votre mémoire de ces moments et dans la façon dont votre public les interprète.

 

Quoi de mieux pour capturer le football que l'immobilité temporelle en mouvement ?

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@ rljy_